17 avril 2005
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Premières impressions :
Serengeti
Serengeti
Ce samedi soir, grosse soirée "jeux de plateau" avec deux potes.
Au programme, en plus de parties de Die Händler - oui, oui, encore et toujours ;o) - et Sankt Petersburg, on a fait des parties/tests de jeux nouveaux (pour nous, en tous cas !) avec Viva il Re !, un bon petit jeu avec une mécanique très simple et bien vue - j'en reparlerai sûrement à l'occasion- et puis aussi, et surtout j'ai envie de dire, Serengeti, un jeu de cartes de Michael SCHACHT (édité chez Asmodée /2003).

J'ai lu sur Tric-Trac des critiques mitigées sur ce jeu, notamment parce qu'en fait, il ne s'agit pas d'un jeu à proprement parlé original (il serait inspiré par deux jeux plus vieux : For sale et Don) mais aussi parce qu'il est un peu cher. En fait, j'ai vu qu'on pouvait le chopper à pas trop cher sur les boutiques de jeu en ligne en ce moment !
Bon, bon, bon...
Ne connaissant ni les deux jeux cités ci-dessus et n'ayant même pas eu à acheter ce jeu (il nous vient d'une ludothèque), je me vois mal inspiré par ces critques pour "juger" Serengeti ! Donc voilà :
A la lecture des règles, Serengeti nous a fait frémir ! On se demandait comment, en pratique, on allait bien pouvoir gérer tous les paramètres que ce jeu prend en compte sans devenir fou (et pourtant, elles tiennent sur, maxi, une page A4 ces règles !). En fait, il s'est avéré que Serengeti est un jeu tout à fait abordable, pas si compliqué que ça et vraiment très très plaisant à jouer. Après une première partie, plus ou moins test (je mets "plus ou moins" parce que, même quand l'on fait des tests, nous, quand on joue, on joue !), on a eu aussitôt envie d'y rejouer... ce qu'on a fait d'ailleurs !
Maintenant, on peut jouer ce jeu de 3 à 6 et nous étions donc 3 à jouer. Reste à voir ce que peut donner ce jeu à plus de trois donc ! On supppose que forcément, la partie devient moins "contrôlable". Le jeu en perd-t-il pour autant de son intérêt : Là est la question ?
En tous cas, Serengeti nous a offert un moment vraiment agréable et, même moi qui ne suis pas forcément un afficionado des jeux d'enchères (hein, quoi, Die Händler ???? ;op ), j'ai vraiment aprécié ce bon jeu de cartes sympa (certains mécanismes sont vraiment très bons : le nombre de cartes des enchères qui est cyclique par rexemple, ou encore, le pot que l'enchérisseur paie est partagé (enfin, ça dépend mais bon, passons...) entre les autres joueurs...) et pas trop prise de tête (mais plutôt prise de risque ! ;o) - enfin, un peu quoi ! -.
Et en plus, il est beau ce jeu !
Vraiment beau, je veux dire !
Comment voulez-vous que je boude mon plaisir d'avoir "découvert" un tel jeu alors ! ;o)
Si je devais lui donner une note ? Un 16/20 bien mérité !
Au programme, en plus de parties de Die Händler - oui, oui, encore et toujours ;o) - et Sankt Petersburg, on a fait des parties/tests de jeux nouveaux (pour nous, en tous cas !) avec Viva il Re !, un bon petit jeu avec une mécanique très simple et bien vue - j'en reparlerai sûrement à l'occasion- et puis aussi, et surtout j'ai envie de dire, Serengeti, un jeu de cartes de Michael SCHACHT (édité chez Asmodée /2003).

Bon, bon, bon...
Ne connaissant ni les deux jeux cités ci-dessus et n'ayant même pas eu à acheter ce jeu (il nous vient d'une ludothèque), je me vois mal inspiré par ces critques pour "juger" Serengeti ! Donc voilà :
A la lecture des règles, Serengeti nous a fait frémir ! On se demandait comment, en pratique, on allait bien pouvoir gérer tous les paramètres que ce jeu prend en compte sans devenir fou (et pourtant, elles tiennent sur, maxi, une page A4 ces règles !). En fait, il s'est avéré que Serengeti est un jeu tout à fait abordable, pas si compliqué que ça et vraiment très très plaisant à jouer. Après une première partie, plus ou moins test (je mets "plus ou moins" parce que, même quand l'on fait des tests, nous, quand on joue, on joue !), on a eu aussitôt envie d'y rejouer... ce qu'on a fait d'ailleurs !
Maintenant, on peut jouer ce jeu de 3 à 6 et nous étions donc 3 à jouer. Reste à voir ce que peut donner ce jeu à plus de trois donc ! On supppose que forcément, la partie devient moins "contrôlable". Le jeu en perd-t-il pour autant de son intérêt : Là est la question ?
En tous cas, Serengeti nous a offert un moment vraiment agréable et, même moi qui ne suis pas forcément un afficionado des jeux d'enchères (hein, quoi, Die Händler ???? ;op ), j'ai vraiment aprécié ce bon jeu de cartes sympa (certains mécanismes sont vraiment très bons : le nombre de cartes des enchères qui est cyclique par rexemple, ou encore, le pot que l'enchérisseur paie est partagé (enfin, ça dépend mais bon, passons...) entre les autres joueurs...) et pas trop prise de tête (mais plutôt prise de risque ! ;o) - enfin, un peu quoi ! -.
Et en plus, il est beau ce jeu !
Vraiment beau, je veux dire !
Comment voulez-vous que je boude mon plaisir d'avoir "découvert" un tel jeu alors ! ;o)
Si je devais lui donner une note ? Un 16/20 bien mérité !
Résumé d'une partie : Le jeu comprend 30 cartes réparties en 6 familles (d'objets d'art africain) de 5 cartes : Chaque carte a une valeur variant entre 0 et 9 points et le jeu comprend 3 cartes de chaque valeur.
Au départ, chaque joueur a 12 Hongo (la monnaie du jeu) et on forme une pile face cahée avec les cartes.
A chaque tour de jeu, on révèle des cartes de la pile : 1 carte, au premier tour, 2 au second, 3 au troisème, puis à nouveau, 1 au tour qui suit, puis 2 .... et ainsi de suite.
Ces cartes sont mises aux enchères et le plus offrant remporte les cartes qu'il exposere alors devant lui - ce seront ses acquisitions personnels - mais :
- Un joueur ne peut pas enchérir d'uen somme dont l'unité correspond à une ou plusieurs de ces cartes : Si le joueur possède une carte d'une valeur de "1", il ne pourra pas enchérir en annonçant "1", "11" ou "21" par exemple).
- Le pot que paye l'enchérisseur est partagé entre les autres joueurs mais, on tient compte du nombre de cartes en leur possession et du chiffre des unités du montant payé. Celui qui en a le plus emporte le pot dans sa totalité. Sinon, la somme est partagée équitablement entre les joueurs. Par exemple, l'acheteur a payé deux cartes d'enchère pour 15 hongos. On tiendra compte du "5" pour voir comment est partagé le pot : Si, dans son jeu (les cartes exposées) un joueur a plus de "5" que les autres, il emporte le pot. Sinon, si tous les joueurs sont à égalité (aucun ne possède de "5" ou encore, ils en possèdent tous un exemplaire) alors, la mise est partagée entre les joueurs.
Une fois qu'il n'y a plus de cartes à mettre aux enchères (au bout de 15 tours de jeu), on compte les points et celui qui en a le plus remporte bien sûr la partie. On assemble les cartes d'une même famille et on compte : 1 point s'il n'y a qu'une carte, 3 points (1+2) pour deux cartes dans la même famille, 6 points (1+2+3) pour trois cartes dans la même famille et ainsi de suite...
Au départ, chaque joueur a 12 Hongo (la monnaie du jeu) et on forme une pile face cahée avec les cartes.
A chaque tour de jeu, on révèle des cartes de la pile : 1 carte, au premier tour, 2 au second, 3 au troisème, puis à nouveau, 1 au tour qui suit, puis 2 .... et ainsi de suite.
Ces cartes sont mises aux enchères et le plus offrant remporte les cartes qu'il exposere alors devant lui - ce seront ses acquisitions personnels - mais :
- Un joueur ne peut pas enchérir d'uen somme dont l'unité correspond à une ou plusieurs de ces cartes : Si le joueur possède une carte d'une valeur de "1", il ne pourra pas enchérir en annonçant "1", "11" ou "21" par exemple).
- Le pot que paye l'enchérisseur est partagé entre les autres joueurs mais, on tient compte du nombre de cartes en leur possession et du chiffre des unités du montant payé. Celui qui en a le plus emporte le pot dans sa totalité. Sinon, la somme est partagée équitablement entre les joueurs. Par exemple, l'acheteur a payé deux cartes d'enchère pour 15 hongos. On tiendra compte du "5" pour voir comment est partagé le pot : Si, dans son jeu (les cartes exposées) un joueur a plus de "5" que les autres, il emporte le pot. Sinon, si tous les joueurs sont à égalité (aucun ne possède de "5" ou encore, ils en possèdent tous un exemplaire) alors, la mise est partagée entre les joueurs.
Une fois qu'il n'y a plus de cartes à mettre aux enchères (au bout de 15 tours de jeu), on compte les points et celui qui en a le plus remporte bien sûr la partie. On assemble les cartes d'une même famille et on compte : 1 point s'il n'y a qu'une carte, 3 points (1+2) pour deux cartes dans la même famille, 6 points (1+2+3) pour trois cartes dans la même famille et ainsi de suite...